Démons grotesques, flammes des Enfers et bestiaire fantasmagorique se taillent la part du lion sur les réseaux sociaux. Une fascination qui exprime le souci d’échapper aux « temps sombres » et de représenter notre part d’ombre.
« Plus de 6 000 réunions pouvaient être trouvées en ligne », a rapporté, samedi, le média « Zeit online », dont certaines étaient classifiées.